Archives de Tag: Science fiction canadienne

Le printemps ramène la saison des prix!

Comme d’habitude, la saison des prix est déjà là! Les mises en nomination des prix Aurora anglophones se terminent samedi le 6 avril 2024 à minuit. La Canadian SF & Fantasy Association (CSFFA), administre ces prix.

Si vous lisez beaucoup de SF canadienne, je vous encourage à participer aux mises en nominations!

Pour en savoir plus, voir la liste d’œuvres éligibles : https://www.csffa.ca/awards-information/eligibility-lists/ À noter qu’il faut devenir membre de CSFFA (10$) pour mettre une œuvre en nomination et pour le vote final. C’est gratuit si vous êtes déjà membres de SF Canada, sinon il faut débourser 10$. Voir plus bas pour les détails.

Pour les nouvelles en anglais, j’en ai un ‘motton’ qui risquent de diviser les votes comme l’an dernier. Alors, je suggère celles-ci pour les catégories :

BEST short-stories : Kuiper Pancake publié dans Analog, Mai-Juin 2023. Mon commentaire: très, très canadien malgré la Ceinture de Kuiper! 5000 mots de bonne SF dure et croquante!

Vous ha-guissez la hard-SF? Que diriez-vous d’un voyage dans l’époque Renaissance Italienne avec Machiavelli’s Pearl, publiée dans l’anthologie No Secret Better Kept, dirigée par Dayle Dermatis, Soul’s Road Press. La narratrice vous étonnera! Dayle est une formidable autrice de romans historiques, et elle s’y connaît!

BEST Novelettes/novellasTears Down the Wall, Michèle Laframboise (Asimov’s Sept.-Oct. 2023). Mon commentaire : un mystère policier dans un centre-ville où les loyers sont si cher que des travailleurs précaires vivent dans des tentes accrochées verticalement aux buildings. Au matin, les tentes bien agrippées descendent les murs comme des larmes, d’où le titre.

BEST Poem : Dandelions: a Gardening Poem, Michèle Laframboise (Polar Starlight #9, page 9)

Comment voter?

Mon confrère Douglas Smith a, sur sa page d’accueil, une marche à suivre claire (mais en anglais) pour bien s’inscrire. Ses romans valent le détour, surtout The Wolf at the End of the World, que j’ai lu avec délectation, et c’est un nouvelliste consommé!

J’ai mis des liens qui permettent de lire les histoires, sauf pour Tears down the Wall, qui est plus long (Me contacter pour obtenir un fichier), et Machiavelli’s Pearl, que vous pouvez obtenir en soutenant Soul’s Road Press.

Voilà, et bonnes découvertes!

Les périls de l’écriture de hard-SF…

Dans la série les joies de l’écriture de hard-SF… mon article en anglais dans le blog d’Analog.

J’y explique l’inspiration pour ma nouvelle « Living on the Trap » (Analog Nov-Dec. 2023) qui se passe sur un monde isolé, inspiré du système Trappist A. Il y a chez nous des villages éloignés et difficiles d’accès où la pauvreté subsiste par manque de travail (quand le principal employeur a quitté les lieux), de soutien social, de nourriture fraîche, d’eau potable… Sauf qu’il arrive parfois qu’un phénomène naturel attire des visiteurs, ce qui rapporte des sous à l’économie régionale.

Mais les touristes vont se promener dans le parc ou admirer la merveille naturelle, se prendre en selfie au sommet d’une montagne, puis retourner, souvent sans établir de contact significatif avec les habitants. Je réfléchis sur nos façons de voyager en aimant plus les belles vieilles pierres, les églises, les cimetières, les parcs, les lieux spéciaux, les restaurants que les gens. (Et bravo à vous qui prenez le temps de mieux connaître vos hôtes!)

Living on the Trap transmet le point de vue d’une jeune fille de 10-11 ans qui habite un abri avec sa famille. L’endroit est peu agréable, situé dans la zone nocturne d’une planète en orbite verrouillée, mais assez près de la bande crépusculaire pour que les rayons du soleil stationnaire rasent le sol. La chaîne de montagnes voisines comportent des sommets illuminés qui attirent les aventuriers…

Les périls de la hard-SF

Et j’y aborde les périls d’écrire de la hard-SF!

Ma caricature illustre quelques problèmes de l’écriture en général. Et en science-fiction, on peut passer bien du temps à vérifier la plausibilité scientifique de nos mondes… et y laisser quand même quelques erreurs!

Aussi, les descriptions des technologies et des phénomènes doivent couler comme un ruisseau vers une résolution satisfaisante. À éviter, les gros blocs d’exposition qui ralentissent (ou arrêtent!) la progression. Ça peut être par exemple, cette belle scène au chapitre 4 à laquelle vous vous êtes attachée!

À noter que « SF dure » ne veut pas pour autant dire dépourvue de compassion. Ma nouvelle le démontre, j’espère, de façon convaincante.

Je préfère ma SF bien dure et croquante, comme du chocolat!

D’ailleurs, j’aime bien cette formule que l’éditeur a composé à partir de mes renseignements :

Living in Ontario, Michèle Laframboise has kept the curiosity of a child and a thirst for knowledge, coffee and compassion. She creates hard and crunchy SF stories, mixing science, emotion and humor.

Je compte la réutiliser !

Aller ici pour lire l’article en anglais.

Une première campagne Kickstarter pour Mistress of the Winds

Affiche de mon projet Kickstarter

Pourquoi une campagne Kickstarter? 

On a dans nos tête cette image d’un être solitaire qui gribouille sur des centaines de feuilles, dont plusieurs remplissent des paniers, avant d’envoyer une enveloppe à des maisons d’édition qui vont (ou non) les publier et les distribuer en librairie…

Les temps ont changé, les feuilles blanches ont muté en écrans tout aussi blancs, et les sirènes des médias sociaux amènent plusieurs d’entre nous à quitter leur solitude pour claironner leurs réalisations. Le proverbe qui disait que « la qualité parle d’elle-même » n’avait pas été pensé pour une ère où on voit 10 millions d’ouvrages en vente sur une seule plateforme. La qualité est là, mais enterrée sous des millions de mots-clefs semblables (et souvent mensongers, en passant).

Hélas, les algorithmes des médias sociaux forcent plusieurs écrivain-es autoédités à acheter de la publicité, juste pour que leurs contacts puissent les voir. Ce n’est pas un chemin que j’ai choisi pour une carrière à long terme.

Pour la découvrabilité !

Beaucoup d’écrivains indépendants recourent aux campagnes de financement à la source (crowdfunding) pour faire découvrir leur créations, et ce, bien avant le succès foudroyant d’un écrivain de fantasy (Brandon Sanderson, qui avait bâti depuis longtemps sa base de fans). Un aspect très pratique est que notre œuvre gagne de nouveaux adeptes, dans la catégorie publication/fiction. J’ai moi-même soutenu plusieurs campagnes, sur Ulule, Go Fund Me, IndieGogo, et Kickstarter bien sûr.

J’ai ainsi découvert de formidables auteurs et autrices dont je suis désormais la carrière, grâce à leurs campagnes.

Et maintenant c’est à mon tour !

Description du projet 

Maîtresse des vents, présente un univers riche peuplé de personnages attachants. Suivez la jeune Adalou qui doit surmonter l’opposition de sa famille et de rivales adeptes de cerf-volant, mais aussi ses limites biologiques, pour conquérir sa place au soleil.

Cette bande dessinée vous déracinera du quotidien pour vous emporter dans une civilisation si originale que vous en dévorerez toutes les pages avant de l’offrir ! Les amateurs de SF vont savourer ce récit se déroulant dans une civilisation avancée de super-jardiniers!

Pour en savoir plus sur le roman graphique, voici des infos sur la version anglaise de Maîtresse des vent!

Age: tous âges
Pages: 92 en tons de gris

Rendez-vous avec ma première campagne de financement!

Un extrait pour vous mettre en appétit?

Voilà, et au plaisir de se lire!

Venez me contourner au Salon du livre de Montréal!

Dans tout salon du livre, il y a toujours 10-12 auteurs incontournables et 2000 autres, ahem…. contournés!

Si vous voyez un-e auteur-e seul-e à sa table, prenez le temps de leur parler un peu! Même si vous n’achetez pas son livre vous pouvez diriger un-e ami-e vers sa table. (Et, de grâce, ne lui souhaitez pas « bonne chance » en fuyant!)

Venez me faire un petit coucou jeudi, samedi et dimanche, alors que je signerai mon dernier roman « Le secret de Paloma« au kiosque du REFC – 805

— finaliste au pris Alain-Thomas 2022

— finaliste au prix de l’AAOF jeunesse 2022

Mes heures au kiosque du REFC (le 805, juste à côté de la scène centrale et du café, hihi!) :

Jeudi le 24 novembre 2022,14h00

Samedi 26 novembre 2022, 11h00

Dimanche 27 novembre 2022, 10h00

Pour en savoir plus

La page du SLM sur Michèle Laframboise.

La page du SLM du roman Le Secret de Paloma

La page REFC du livre

***

… et à vous la joie de vous immerger dans une bonne histoire!

Dessiner…

Ces temps-ci j’ai pris du temps libre pour dessiner plus que pour écrire! Et pour lire, beaucoup lire. Je peine à trouver le temps de partager mes émerveillement devant des autrices et auteurs que j’ai négligés. Oh qu’on se sent coupable!

Alors je dessine pour libérer une histoire que j’ai commencée voici plusieurs années. Et qui, si tout va bien, va être imprimée dans la première semaine de juin. Maîtresse des vents s’inscrit dans l’univers des super-jardiniers, et pourrait être considérée comme un spin off de la série la quête de Chaaas. L’histoire explore l’adolescence d’Adalou kha Narri, qu’on rencontre adulte dans Les vents de Tammerlan, le deuxième livre de la série.

Une illustration intérieure, mise en couleurs par mon confrère Frank Fournier!

Venez me voir dessiner, et feuilletez mes albums présentés en marge du FBDM, le festival de BD de Montréal, du 27 au 29 mai prochain!

À la boutique BE SPICES, 4160 Rue Saint-Denis, MTL

  • vendredi 16h-19h 
  • Samedi 11h-12h et  14h-16h 
  • Dimanche 15h-17h 

Je ne suis pas dans la programmation officielle cette année, mais je suis une fan finie de plusieurs artistes présent-es! Et je pourrai montrer mes petits derniers publiés chez Échofictions. En attendant, cette esquisse, avec des répliques dont la police de caractères est aussi l’oeuvre de Frank Fournier.

Esquisse avec les polices de caractères. Les bulles des phylactères ne sont pas complétées.

Pour en savoir plus: la quête de Chaaas.

La SF laframboisienne arrive dans Asimov’s

Aujourd’hui, une promesse faite à mon bon papa en 2014 se réalise, enfin!

Wou-hoou!

C’est le cri de triomphe qui sort de ma bouche après 16 ans de patientes soumissions et de refus des deux grandes revues de SF anglophones, Asimov’s et Analog. Le numéro d’automne de Asimov’s avec ma nouvelle humoristique Shooting at Warner’s Bay, sort aujourd’hui en kiosque !  

Caché dans ce numéro, ma nouvelle!

Ne cherchez pas mon nom sur la couverture car il y a autour de 20 (!) auteurs par numéro double d’Asimov’s, sinon plus, et plusieurs sont mieux connus.

Ainsi, je partage ces pages avec des luminaires comme Greg Egan qui ne lésine pas sur les maths avancées, et Elisabeth Bear, dont j’ai savouré des romans, et plusieurs autres auteurs que je vais découvrir. 

Courez acheter le magazine en kiosque, ou la commander à Dell Publishing, ou en version électronique! Et ayez une pensée pour mon bon papa à qui j’avais promis en 2015, au pied de son lit d’hôpital, de publier une histoire dans le magazine qu’il lisait.

La petite histoire

J’ai terminé ce texte le soir de l’Halloween 2019, habillée en pirate des Caraïbes parce que c’est moi qui recevais les jeunes à la porte. Je portais trois livres de bijoux pis de cossins qui pendant après mes ceintures. C’était amusant pour taper à l’ordi entre deux Trick or Treats (on reste en Ontario)!

J’ai soumis le texte à Asimov’s à la fin de 2019 (quand on ne se doutait de rien encore) et j’ai reçu une réponse pendant le salon du livre de l’Outaouais de 2020 en février. Sheila Williams s’est dite enchantée de publier le texte, mais il y a un hic: le numéro de septembre-octobre 2020 était déjà monté. Pourrais-je attendre neuf mois avant de signer, pour placer le texte dans le numéro de 2021?

Je me suis dit que mieux vaut tard que jamais et j’ai répondu VOUI !

Le contrat a été signé en novembre dernier et le montage s’est fait rapidement. Entre-temps, on m’a aussi demandé de participer au blog de la revue, ce que j’ai accepté avec plaisir, surtout que ce sera une BD!

Une bonne nouvelle ne vient pas seule

Le secret de Paloma a fait la sélection de 2021 de Communication-Jeunesse pour la catégorie 12-17 ans. Ça fait , très très longtemps que je n’avais eu un livre choisi pour cette sélection, car mes space-opéras n’étaient pas toujours faciles à suivre, sans compter que la science fiction en rebute plus d’un. Même mon roman gagnant du Prix Aurora et finaliste aux prix du gouverneur général en 2009, Les Vents de Tammerlan, ne s’étaient pas qualifiés.

Mais je suis contente parce que c’est une histoire qui apporte de l’espoir dans des situations difficiles, et qui aborde de plein pied la santé mentale, à travers une petite colonie frappé par le deuil.

Et entretemps, la version papier du Galaxies 72 a atterri ici avec sa belle couverture. Je dois me dépêcher de le lire.  Encore, je vous encourage à l’acheter, ainsi que, en anglais, l’anthologie de Blaze Ward.

Et le magazine Analog Science Fiction and Facts a accepté une autre nouvelle, publication à venir!

Donc, j’éprouve la joie de la jardinière qui voit son travail porter ses fruits.

Je reçois une leçon de générosité chaque fois que je cueille ces fruits qui poussent dans ma cour. Le framboisier ne demande rien, seulement du un coin de terre, un peu de soleil et de pluie
Je reçois une leçon de générosité chaque fois que je cueille ces fruits qui poussent dans ma cour. Le framboisier ne demande rien, seulement du un coin de terre, un peu de soleil et de pluie

250 k

Cet escargot est une gracieuseté de Shutterstock, parce mes photos ne sont pas terribles!

Écrire vite ou lentement?

Lièvre ou tortue? La question divise.

J’ai passé le cap du 250 000 mots avant-hier le 30 juillet. L’an dernier, j’avais dépassé 300 k fin décembre; l’année 2018, j’avais atteint 200 000 mots, la part du lion revenant à un gros roman steampunk de 117 k (qui a une couverture, mais pas encore passé par la révision). Comme je veus faire une trilogie, l’univers exige un peu de construction. C’est bien plus long bâtir une culture riche que de vérifier la science!

J’écris: des romans, des nouvelles, des articles de blog (mais moins qu’avant) en parallèle plutôt qu’en série. J’adore écrire vite des histoires prenantes. Je repasse dessus pour enlever les grosses fÔtes, vérifier les détails de type chandail rouge/chandail vert (et la science dans le cas des mes space opéras), et ajouter un détail ici et là.

Battre le tapis, mais pas trop!

Je fais trois p’tits tours et puis je laisse l’oiseau s’envoler. Et, oui, ça peut être tentant d’ouvrir la porte de la cage pour nettoyer des détails, mais grâce à la très prolifique Kristine Kathryn Rusch, j’ai fini par comprendre que la perfection n’existe pas. Il faut y tendre, mais pas trop battre le texte comme un tapis. Ça enlève certes un peu de poussière, mais trop le malmener va amoindrir son impact, sa fraîcheur. Comme une bouchée mâchée trop longtemps…

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Solaris 215

Voici ma dernière parution, l’été dernier, arrivée à temps pour ma fête. Le titre: Dernières vacances de la femme-termite, dans le magazine Solaris 215. Une histoire qui va vous gruger longtemps par en-dedans!

Ceci complète mes parutions anglophones Cousin Entropy, à Future SF Digest et Ganymede’s Lamps, at Luna Station Quarterly. Vous êtes chanceux, venez goûter à ma fiction!

Et si vous aimez, laissez un petit obole aux éditeurs et éditrices! Les temps sont durs et ils en ont bien besoin!

Un pic pour le Pitch!

Couverture du Galaxies 60
Le numéro 60 de Galaxies

Ma nouvelle, Pitch de vente aux Archétypes, publiée dans Galaxies 60, est finaliste (première sélection, catégorie nouvelles francophones) au Grand Prix de l’imaginaire 2020 !

J’avais publié deux textes assez forts cette année dans la revue Galaxies (site de la nouvelle collection); je suis touchée de voir qu’un des deux se retrouve dans cette sélection européenne.

Le thème de ce numéro de Galaxies était « terraformer la Lune. »

Une courte liste!

Voici les autres 6 finalistes de cette liste vous y retrouverez mon confrère Jean-Louis Trudel, très méritant!

C’est quand même ma rencontre avec Jean-Louis en 1994 à la librairie Nébula qui m’a donné l’impulsion d’écrire dans ce domaine. Si un jour je gagne le prix Hugo il va être parmi les premiers que je mentionnerai dans mon discours d’acceptation!

(Oui, je suis optimiste…)

Pitch de vente aux Archétypes de Michèle Laframboise (in Galaxies n° 60)

La Longue patience de la forêt de Christian Léourier (in Bifrost n° 93)

Helstrid de Christian Léourier (Le Bélial’)

Le Vieillard, l’enfant et la cuillère pensante de Denis Roditi (in Solaris n° 212)

Faites comme si vous étiez morts (recueil) de Sammy Sapin (L’Arbre vengeur)

Dans la nécropole troyenne de Jean-Louis Trudel (in Galaxies n° 57)

Pourquoi votre soutien est important…

Lors de mon premier marathon, les bénévoles sur la route!

Écrire c’est comme entreprendre un long marathon, mais en solitaire! Ça fait toujours du bien, alors, de savoir son travail apprécié. Voir son texte apparaître en si bonne compagnie imprime un élan, une petite tape d’encouragement sur l’épaule.

Une nomination apporte un court pic de visibilité. Mais ce qui aide encore plus les auteurs, c’est de laisser votre marque d’appréciation des livres que vous avez lus. Sur votre blogue, ou sur des sites de lecture comme Goodreads.com.

La science fiction a une pointe de tarte de lecteurs et lectrices plus étroite que, disons les romance ou les romans policiers. Et peu de librairies en ligne vont les placer en évidence sur leur « vitrine » (à moins de payer!)

Et ça fonctionne aussi pour les critique négatives! Car si vous donnez les raisons précises pour lesquelles un livre ne « fonctionne » pas pour vous, ça peut constituer un élément attirant pour une autre personne!

Une page crayonnée

Eh oui, une petite page d’une histoire en cours de production! Ceux qui me lisent reconnaîtront l’univers des Jardiniers, introduit dans le roman La Quête de Chaas. Reste un peu de travail pour équilibrer les bulles!

Pour mes fans, ça faisait un moment que j’ai laissé faire le dessin pour l’écriture, mais la fin de semaine représente un bon temps pour m’y mettre. Çà a été plus long de fouiller mes archives pour retrouver les planches papier que de compléter le crayonné!

La Savante folle au Salon du Livre de Montréal

Mes heures de dédicaces au Salon cette année, pour trois livres de science-fiction

Projet Ithuriel Couverture
Anticipation sociale: une fillette élevée pour être une arme d’espionnage s’évade…
Suivez Marillyn au coeur de la Ruche, là où la sensualité épouse le mystère. Science fiction adulte. couverture par Xin Ran Liu
Suivez Marillyn au coeur de la Ruche, là où la sensualité épouse le mystère. Science fiction adulte
Fils d’un écologiste assassiné, Arran Noor récolte de nuit les plaies du métier de clown-vengeur. ADA éditions (2019)
Fils d’un écologiste assassiné, Arran Noor récolte de nuit les plaies du métier de clown-vengeur. ADA éditions (2019)

Mes kiosques :

101 Distribution Nomade pour les Six Brumes – La ruche

206 Kiosque de REFC pour les éditions David – Le projet Ithuriel

548-556 Kiosque ADA pour l’Écologie d’Odi

Pour les heures exactes, voir ici

Le Galaxies 61

Arrivé par la poste, sur les traces de l’autre…

Ce numéro 61 de Galaxies (nouvelle série) est arrivé cette semaine. Avec mon texte Tinkerbelles, dont le protagoniste ne vous laissera pas indifférent…

Autosuffisance alimentaire, déclin des abeilles, mini-robots, cerveaux augmentés, programmation génétique. Si nos paramètres génétiques limitent nos choix, peut-on encore brasser la cage mentale?

Pour vous le procurer en électronique ou papier, et découvrir les conteuses et conteurs d’histoires, et le dossier bien fouillé de Jean-Louis Trudel!