
Elle est partie avec octobre, avec l’automne.
J’ai eu la joie d’écouter et de voir Jane en personne à Toronto, le 3 septembre dernier. Voici mon lien vers l’article en anglais, que je n’ai pas encore traduit.
Un trio gagnant
En s’occupant des chimpanzés en danger, Jane avait compris qu’il fallait aussi s’occuper des populations qui vivent dans le même milieu –souvent ignorées par les scientifiques– et les faire participer activement à l’amélioration de leur environnement.
« when we put local communities at the heart of conservation, we improve the lives of people, animals and the environment. »
C’est un trio gagnant-gagnant qui a fait ses preuves sur plus de trente ans, et lors de sa présentation Jane avait donné des exemples, tels que la colline de Gombe dont la forêt autour avait été rasée. Un effort de replanter des arbres a ramené, peu à peu les gens, l’eau et les animaux dans le milieu.
Pour les ami-es de la nature, l’Institut Jane Goodall poursuit son travail incessant. Roots and Shoots encourage les enfants à construire par des actions écologiques un meilleur avenir.






