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Soirée littéraire

Le 11 décembre dernier, à la galerie de l’Alliance Francaise, Mireille Messier et moi avons tour à tour parlé de nos livres et de notre cheminement d’auteure jeunesse.  J’ai répondu à la question « qu’est-ce que la science-fiction? » (réponse servie avec caricatures).

Le public s’est montré très réceptif et intéressé par ces défis.  J’ai lu un extrait de mon dernier roman, Les vents de Tammerlan, ce qui ne fut pas une mince affaire, car la science-fiction créant un univers et une société complexe, il fallait que je m’arrête pour remettre en contexte les actions des personnages (par exemple, expliquer que les Chhhatyls portent  les cendres de leurs morts sur eux, dans un petit sachet.)

L’Express de Toronto  a couvert notre soirée.

Voir le lien:
http://www.lexpress.to/archives/3344/
« Écrire pour les jeunes: plaisirs et défis », un article de Guillaume Garcia.
Il y avait aussi un bon vin et fromages (non visible sur la photo accompagnant l’article!)

Musique et BD font-elles bon ménage?

Venez le découvrir le 18 avril à 21h, au café Babylone.

MIXTURE IV / Musique complice de la BD

au Café Babylone

181, rue Saint-Vallier Est, Québec

Des créations musicales inspirées des dessins ou des planches de BD qui seront projetées sur écran pendant l’exécution de la pièce.   

Les compositeurs Serge Arcuri, Alexis Basque, Stacey Brown,  Geneviève Dupuis, Charles Côté Potvin, Éric Champagne, Serge Lemieux, Lukas Pearse, Pierre Olivier Roy, Luc Simard, Evan Ware

et les auteurs de BD : Pierre Bouchard, Benoît Boily Pascal Girard, Philippe Girard, Michèle Laframboise, Jacques Lamontagne, Catherine Lepage, Daniel Plaisance, Michel Rabagliati, Leif Tande… 
Monsieur Pierre Bouchard, auteur de BD, interviendra en direct lors de ces présentations. 

Parmi les pièces, voici donc celle en rapport avec mon travail:

« Splendeurs et misères d’un pianiste de concert » pour quintette à vent de Luc Simard, compositeur de Québec établi à Montréal, d’après « Leonid – La première » de Michèle Laframboise, bédéiste, romancière et nouvelliste québécoise établie en Ontario, connue également pour ses illustrations et ses romans de science-fiction, dont Les Mémoires de l’Arc qui s’est mérité le prix Aurora 2005.

(Ce gag met en vedette un personnage principal de Pianissimo, le pianiste Léonid, un virtuose timide. )

Les braves musiciens qui vont interpréter les pièces:

Katia Durette, flûte 
Sarah L. Bilodeau, hautbois
Pierre Langevin, clarinette
Yana Ouellet, basson
Benoît  Fortier, cor

Vive le vélo libre!

Voici quelques impressions de Paris en mars dernier.

Ca fait 15 ans que je n’avais pas mis les pieds là-bas. Vous quittez des bancs de neige de 1 m de hauteur, pour arriver à Paris où il n’y a pas un seul flocon! Les arbres sont en fleurs, les bourgeons éclatent, la température est douce autour de 12 degrés…

Les transports en commun sont pas mal plus avancés que chez nous. Dans chaque abribus, un écran affiche les délais d’arrivée des deux prochains autobus de la ligne que vous utilisez. Idem pour les tramways et sans doute les métros (que je n’ai pas utilisés cette fois, le transport en surface étant tellement plus agréable). Une fois à bord de l’autobus, des bandes-écrans vous annoncent les coins de rues de chaque arrêt, le délai d’arrivée aux points majeurs (exemple: Louvres, 5 min, porte de Montmartre, 23 minutes) et, vocalement, chaque arrêt. Le prix: 1,5 euro le billet, mais on peut en acheter par paquets de 10, ou prendre une carte.

Dans mon cas, quelques billets ont suffit. Important, les faire « composter » (aucun rapport avec le compostage de déchets) par une machine pour prouver qu’on les utilise. Les porteurs de cartes, eux, les passent devant un lecteur magnétique. On n’arrête pas le progrès!

Remarque: la ligne 95 part près de mon petit hôtel rue Brancion et se rend à la colline Montmartre, en traversant le coeur de Paris, en une demi-heure. Aussi intéressante que la ligne 95 d’Ottawa!

Et les vélos?

Ce qui a changé en 15 ans, ce sont ces stands de bicyclettes « Vélib » partout. Comme mon hôtel était à distance de marche du Salon du Livre (qui se tenait porte Versailles), je ne les ai pas utilisés. Voici quand même le mode d’emploi: vous achetez un abonnement, et vous passez votre carte magnétisée sur le socle qui retient le vélo. Celui -ci se détache, et vous roulez avec.

Arrivé à destination, vous repérez un stand de ces même vélos, et vous replacez le vélo près d’un socle libre. Le verrouillage magnétique se déclenche. Le montant de votre promenade (si vous n’avez pas pris un abonnement mensuel) est débité de votre compte. Il y a beaucoup de ces stands à Paris.

À quand la même chose chez nous? 

Bonjour tout le monde !

Bienvenue sur le blog de la Savante folle, pour les amateurs de science-fiction et de bandes dessinées!